République Dominicaine : Produire de l’énergie alternative, une solution viable, saine et à faible coût

Le développement des énergies renouvelables pourrait amener à réduire d’environ 1,2 milliard de tonnes durant l’année 2015, les émissions globales de dioxyde de carbone selon les estimations des experts il y a quelques années. Pour cela bien sur, il est important de mettre en place des programmes de production d’énergie électrique alternative, viable, saine et à bas coût. En 2005, l’organisme Petrocaribe a été fondé, avec l’appui du Venezuela. Les 14 représentants d’Etats qui ont participé au sommet caribéen sur l’énergie, qui a eu lieu à Puerto La Cruz, à l’est de Caracas, ont signé pour les statuts que constitue cet organisme.

NB : la République d’Haïti n’a pas participé à ce sommet, mais la République Dominicaine si.
Le rôle de Petrocaribe est d’assurer le ravitaillement des pays des Caraïbes dont la plupart dépendent du pétrole pour l’électrification de leurs territoires, cela malgré la hausse régulière des prix du pétrole sur le marché international.
Dans la République dominicaine et en Haïti, on exploite la lumière solaire, pour produire de l’énergie électrique, mais malgré ça, les deux côtés de l’île d’Haïti n’ont pas encore d’électricité.

La République d’Haïti

Dans différents points du territoire de la République d’Haïti, un processus d’électrification à énergie solaire avait commencé, il y a des années, particulièrement au Nord-Est. Mais ce processus fut un échec car cela coute chers aux habitants de se procurer un panneau solaire, en plus des cambrioleurs s’en emparent même dans des endroits reculés de l’île. Ce qui posent un mystère car ces panneaux pèsent très lourd et sont difficiles à transporter. L’utilisation de l’énergie solaire a donc diminué.

En 2004, le ministre haïtien de l’Environnement de l’époque, Yves André Wainright a parlé d’une recherche d’énergie alternative à travers la production de biodiesel tirée d’immondices, de l’énergie éolienne et solaire, pour étendre l’électricité dans toute l’île.
C’est un programme qui demande l’investissement d’entrepreneurs du secteur privé et en même temps règlera le problème d’ordures dans le pays, qu’on a encore du mal à gérer.

Les résultats de différentes études se sont avérés avantageux pour la République Dominicaine, c’est-à-dire l’application d’une vision axée sur la production d’énergie alternative, il faut d’abord qu’il soit testé sur le terrain.

En Haïti, plus de 70% d’énergie utilisé, est le bois de chauffage, ce qui est très néfaste pour l’environnement, en l’occurrence, la déforestation. L’usage d’énergie électrique alternative, réduirait ainsi ce phénomène : réduction de la déforestation et de la pollution et augmentation du financement dans l’éducation et dans la santé publique.

En Haïti, on a souvent évoqué le manque de responsabilité du gouvernement, face à la situation qui atteigne la population, et le manque de volonté générale, pour rechercher une solution à ce grand problème d’électricité que subit le pays.

La République Dominicaine

En 2005, du coté des dominicains, le ministre de l’Industrie et du Commerce de l’époque, Francisco Javier García, lui, il a parlé d’un programme de production d’énergie alternative et aussi régler des stratégies orientées vers l’économie de combustible. Le but aurait été de réduire le coût de la production d’énergie, réduire la pollution de l’environnement en mettant en œuvre des techniques alternatives de production d’énergie sans avoir recours au pétrole. C’est-à-dire en remplaçant, les ampoules électriques de cent watts par des fluorescentes de 22 watts, qui coutera dans les US$3.00 mm. Par contre, on économisera de combustible.

Ensuite, un programme de génération d’énergie sur la base de l’exploitation de la bagasse de canne (barbojo) et de l’éthanol, alcool de canne mélangé avec de l’essence (la gazoline), et un programme exploitant les ordures ménagères qui seraient déposées dans des déversoirs pour produire du gaz, le méthane qui sera à la fois du gaz de cuisine et du combustible pour la production d’énergie électrique.

Car en effet, la paille de riz, l’écorce de café et de cacao, les coques de noix de coco, pourraient encore produire de l’énergie saine, moins cher et n’aura pas d’effet sur l’environnement. Avec les tonnes d’ordure qui se trouvent dans les deux pays cela pourrait être bénéfique surtout pour l’Haïti qui en souffre plus.

Dans la province de María Trinité Sánchez en République Dominicaine, à la Pieza pour être précis, il a été constaté il y a plusieurs années de cela que toutes les maisons jouissaient d’énergie électrique via panneaux solaires, comme à las terrenas aujourd’hui.

Haïti et République Dominicaine

Et en Haïti et en République Dominicaine, cela pourrait constituer un important axe pour la coopération et l’assessorat, comme une partie d’un projet global de production d’énergie électrique soutenable et renouvelable.

Une coopération, entre les deux pays concernés s’est avérée nécessaire en vue d’une production d’énergie électrique soutenable et renouvelable. Ainsi la Commission Mixte Bilatérale entre les deux s’est réactivé réactivée.

NB : en Haïti l’on ne peut pas se pencher vers l’acquisition de génératrices ni la génération d’énergie hydraulique car les conditions climatiques ne permettraient pas de le faire, il n’aurait pas assez d’eau, puis se procurer de telles génératrices couterait trop cher aux pays. Le gouvernement devrait tourner vers l’énergie éolienne comme autre alternative potentielle, car l’île possède de grandes sources de vents (Nord-Ouest du pays et nord-est de la capitale, Malpaso, non loin du Lac Azuei), tout comme la République dominicaine (Samaná, Cabarete, dans la baie d’Icaquitos et des dizaines d’autres points)

Infos :

Le Danemark produit 20% d’électricité par énergie éolienne et les USA disposent de 13 mille générateurs de turbine, tandis que l’énergie solaire mondiale recueille 500 mm de watts. Mais, les panneaux solaires risquent de laisser du sulfure de cadmium et de l’arséniure de gallium flotter dangereusement dans l’atmosphère pendant des siècles.

Des chercheurs ont ainsi averti qu’il est urgent de trouver d’autres éléments pour la fabrication des panneaux solaires. Ils recommandent que les gouvernements doivent de consacrer, via une partie de leurs techniciens, dans des travaux de recherches sur les possibilités de changer les sources d’énergie traditionnelles, par des alternatives qui couteront probablement moins chers et moins polluantes mais soutenables.

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